Exemple de posts parfaits

Je vous laisse ici de beaux souvenirs de l'ancien jeu d'Unlimit, pour vous donner une idée...

Post de Furyô :


"Et cela était tant mieux ! Voilà le genre de situation qui plaisait à Fûryo: la solitude. Devoir ne rendre de compte à personne sauf à lui même... Et à Athéna. Le Mont Olympe s'offrait à lui. il allait pouvoir passer cette épreuve comme il l'entendait et sans devoir supporter les palabres inutiles du Vieux. Lui et son sac à dos face au Demeure des Dieux. Béllérophon avait tenté d'atteindre le Sommet de l'Olympe avec Pégase sans y parvenir. les Dieux ne l'avaient pas voulu. Avec Fûryo, c'était une autre pair de manche: sa volonté dépasserait celle des dieux. Inutile de rappeler que quand l'Indomptable désirait quelque chose, il l'avait toujours. Et ce n'était pas des Dieux qui allaient l'en empêcher. Encore moins des Dieux. Si tant est qu'ils existent d'ailleurs. Il croiraient en eux quand il en verrait un devant lui. Seule Athéna faisait exception mais elle demeurait une incertitude. Comme si la servir elle et son idéale serait une bonne chose pour lui. Après tout, le temps des questions était dépassé, il fallait se mettre au travail et prouver au Vieux Schnoque que ce n'était pas une simple montagne qui allait l'empêcher d'accomplir son envie.

Le Vieil Homme avait suivi un chemin différent de celui de Fûryo. Comme il veut: après tout, un vieillard doit faire attention à lui sinon il risque la crise cardiaque: cela ferait désordre s'il devait ramener un cadavre. Qui plus est celui de son soi disant Maître alors que Fûryo ne le considérait pas ainsi. Tout ce qui était cosmos, aura, constellation etc , il le trouverait par lui même: sans aide de personne. Il commença alors à prendre le chemin de la Montagne qui se dressait devant lui. Elle semblait la narguer. Personne ne pouvait la dompter ? Elle saura maintenant pourquoi on nomme Fûryo l'Indomptable. Le voilà maintenant au pied du Mont. Le vent souffle fort mais les prises existent: c'est déjà ça de gagner. Escalader n'importe quelle montagne demande de la force et de la résistance. Et Fûryo n'en était point dépourvu: ça c'est sûr.

Il commença alors l'ascencion du Mont Olympe. Il faut bien l'avouer: la Montagne ne se laissait pas faire. Bien ! Fûryo aimait ça: il aimait qu'on lui résiste. La sensation de victoire n'en était que plus jouissive. Au fond de lui, il mesurait bien l'épreuve: il ne s'agissait pas de se battre contre un homme mais bien contre Mère Nature. Cela allait être difficile. Mais son objectif passait par deux choses précises: grimper cette montagne, attendre le vieil homme et la redescendre. Puis revêtir cette armure d'or. Ca ne serait qu'à ces deux conditions qu'ils pourraient connaîotre celle qui ne cesse de le harceler. Le vent souffle fort et les prises ne sont pas solides. Mais il continue de grimper. En y réflechissant, c'est comme s'il l'avait toujours fait: il semblait connaître les endroits fragiles de la paroi rocailleuse. Il semblait savoir comment les éviter. Et pourtant, c'était bien la première fois qu'il grimpait une montagne. Bien sûr, il avait vu comment faire grâce à des films ou des documentaires. C'était sa seule réaction devant l'inconnu: reproduire ce qu'il savait avec sa force et sa tenacité. Oh non ! L'Olympe pouvait résister tant qu'elle le voulait, Fûryo continuerait encore et encore. Rien ne lui résistera !

Il se souvint de ce que lui avait dit le Vieil Homme: il l'attendrait pour demain à Midi. Fûryo, tout en continuant à escalader la montagne, se mit à sourire : il allait tout entreprendre pour arriver bien avant la date de l'échéance. Avec un peu de chance, c'est le disciple qui attendrait le maître devant Le Temple de Zeus. Quelle ironie se serait...Et s'il pouvait l'accueillir avec une pointe de sarcasme histoire de lui clouer le bec, ce serait encore mieux. Rien que cette idée lui redonnait la Force de se surpasser. Une motivation comme une autre parmi tant d'autres. La journée défile: le jour s'efface pour laisser la place à la nuit. Et Fûryo constatait qu'il n'était plus très loin du Sommet de la Montagne. Certes oui, il avait éprouvé quelques difficultés et le sac commençait à peser mais cela n'était rien. Certes oui, les prises étaient trop friables et par moment, il avait failli tomber mais sa volonté, sa force et sa motivation d'arriver avant le Vieux l'aidait à continuer son chemin. Mais surtout, l'image de cette femme aux cheveux violets hantait encore plus son esprit. Etait-ce une vision ou une hallucination ? Toujours est-il qu'il la voyait au dessus de lui. Elle posait un regard des plus accueillants sur sa personne: elle semblait l'encourager. Sans savoir vraiment pourquoi, Fûryo se sentait apaisé par cette vision. Il avait vraiment des questions à lui poser: pourquoi une femme comme ça s'interéssait-elle à un homme comme lui ?

Finalement, il fait nuit. La Lune est à son zénith. Il avait réussi à grimper avec une certaine rapidité le Mont Olympe. Et par la force de son esprit, sa conviction, sa résistance et peut être bien grâce aussi à l'aide de cette Femme aux Cheveux Violets. Athéna: il savait comme elle se nommait. Il voyait le temple de Zeus. Il était certes fatigué, voire exténué mais il se dirigea vers cette Demeure insignifiante pour lui et s'y assit sur le sol. il ferma les yeux un moment histoire de se reposer. Mais il fallait être alerte tout de même: quand le vieux Schnoque se raménerait, il aurait une sacré surprise...."

Un autre de Furyô

Bien...Le vieux commençait enfin à comprendre que Fûryo n'en avait vraiment rien à faire de lui. Peut être s'autoriserait-il à le remercier quand tout sera fioni car, finalement, Fûryo n'était pas si mauvais que ça dans le fond mais il ne le savait pas encore. Ou alors , il était trop obnubilé par sa quête. Et pragmatique et réalistecomme il était, Fûryo s'adonnait plus à la volonté de procéder par étape plutôt que de vouloir se disperser en pensée inutiles. Chaque chose en son temps en fait. Pour l'heure, le voilà qui suit le Vieux Schnoque dans ce qui représentait une Grande Ville. Cela tombait bien en un sens: il avait une chose à faire. D'ailleurs il aurait du faire ça depuis longtemps mais n'en avait jamais eu l'occasion. cette fois, cette occasion, il l'allait la saisir.

" Je sais que tu es pressé de mettre un terme à ton entraînement. Nous allons donc utiliser des moyens modernes de locomotion..."

J'ai quelque chose à faire avant....

Se rendant dans une librairie la plus proche, il entra dans le petit magasin et Andrios put voir qu'il cherchait un livre. D'ailleurs, une jeune femme se dirigea vers lui et lui demanda ce qu'il cherchait. Comme à son habitude, Fûryo ne lui répondit même pas l'ignorant totalement. Finalement, malgré le regard courroucé de la jeune vendeuse, l'Indomptable trouva ce qu'il chercha et sortit du magasin comme si de rien n'était. La jeune femme ne s'en laissa pas démordre et alors que Fûryo était en face du Vieux, celle-ci lui prit le bras et le força à se retourner. Quelle erreur ! Le pseudo maîter croira certainement que son disciple allait tuer l'Importune. Au lieu de ça, Fûryo fusillera du regard la Présomptueuse tout en lui serrant discrètement mais violemment le bras. Un crac se fit entendre: pas de chance, elle avait le poignet brisé mais elle comprit instantanémment: il fallait mieux oublier et ne rien dire plutôt que de s'attirer les foudres de l'Inconnu. Ce qu'il conforma à voix basse mais bien audible pour le Vieil Homme et la jeune femme.

Tu hurles, je te tue. Toi et ta famille. Oublie moi car moi je ne t'oublierai pas et si je dois avoir des ennuis, je saurais à cause de qui. Et crois moi: personnene te protégera quand je viendrais te violer et te tuer devant ta famille. Et je me ferais un plaisir de les assassiner en y prenant plaisir...

Oh oui ! Elle comprit... Elle trembla un peu, inclina la tête doucement avec un regard apeuré. Ces yeux, cette attitude, elle ne l'oublierait jamais. L'incarnation du mal était devant elle...Elle s'en alla sans demander son reste en s'efforçant de prendre une certaine contenance. Fûryo la regardait partir en souriant d'un air des plus mauvais mais satisfait. En ses mains, il tenait un livre qui devrait peut être interpeller le Pseudo maître." L'Enfer" de Dante...

Histoire d'agacer son maître, il s'installa à l'arrière au côté d'Andrios et ne cessait de lire son livre avec une certaine dévotion en un sens. Il ne faisait attention à rien du tout. Les côtes grecques? Il s'en moquait éperduemment. Il se moqua même de ce que lui annonça Andrios. Il verrait le moment venupour l'armure. Il fallait donc l'appeler ? Et bien il l'appelerait. le fait de savoir comment ne l'intéressa pas pour l'instant. Tout au plus était-il concentré sur la lecture de son livre. Et ce fut pareil pour le trajet en avion où Le Chevalier d'Eridian n'avait aucune importance à ses yeux. Quand ils atterirent à Turin, Fûryo rangea le livre dans le sac qu'il avait remis sur son dos et écouta quand même le Vieil Homme.

" Il est dit que l'armure du Cancer se trouve dans un lac près des Alpes. Mais il y en a des tas, et personne ne les connait tous. Nous allons donc nous rendre dans un village montagnard, où la dernière partie de otn entraînement se déroulera. Tout à l'heure un message m'a été envoyé du Sanctuaire : nous devons nous hâter, une fois ton entraînement fini tu rejoindras le Sanctuaire et prendras ta place. "

Ne joues pas l'imbécile avec moi, tu sais très bien où se trouve cette armure. Condiis moi à l'endroit exacte où elle se trouve et je me charge de la suite. Après , quand ça sera fini, tu pourras continuer à divaguer sur la place du trou pourri où on s'est rencontré la première fois et quant à moi, je ferais ce que j'ai à faire. Dépêchons nous ! Je n'ai pas que ça à faire: mon temps est précieux !

Post de Catherine

Catherine écouta attentivement la réponse du villageois. Il ne semblait pas rassûré et sûr de Catherine.

"Oui, je suis vraiment venue vous aider. Je sais, on dirais pas en me voyant. Je vais m'en occuper et l'exterminer."

Puis elle le vit partir vers sa femme et sa fille qui l'appelait.

"Bon, voyons. Il m'a dit une forme noire et elle va vers le Nord. Eh bien allons-y!"

Elle revêti son armure et partit en courant vers le Nord. Le tracé était déjà fait, elle n'avait qu'à suivre les ruines des villages. Et dans chaque village traversé, les habitants la regardait en se demandant pourquoi elle allait vers la mort comme ils l'appelaient.
Après deux heures de courses à travers les villages dévastés, elle arriva dans un petit village qui semblait épargné. Une chose l'intrigua, personne n'était à l'intérieur. Elle appela et vit une petite fille tremblante se cacher derrière une maison.

"Bonjour petite fille. Ne t'inquiètes pas, je ne te ferais pas de mal! Peux-tu me dire où sont les villageois? Tu ne vis pas seule ici?"

Catherine tendit sa main vers la petite fille qui hésita à la prendre et la prit. Elle alla s'asseoir à côté de la fille et attendit ses réponses en la serrant dans ses bras.

Post de Ganymède ( moins de 20 lignes, mais absolument acceptable ! )

Ganymède descendit de l'avion... Il regarda le soleil qui brillait dans le ciel... Il fixa ses compagnons un à un... Il sourit à la résurrection de Shaira et trouva l'attitude de Pol encore trop irrespectueuse...

*Shaira est probablement le Saint le plus puissant actuellement, cette phobie des transports est assez risible mais prouve bien que tout chevalier que nous sommes, nous restons de simples humains... Enfin le calme semble être revenu parmi mes compagnons malgré l'attitude plus que limite de Pol lors de ses excuses envers Kyra... Je vais le tenir à l'oeil...*

"Aleraloth, Canon et Andromède seront bien assez nombreux pour l'infiltration. Pol, tu resteras près de moi, tu n'es pas encore chevalier et tu te tiendras donc à l'écart de cette mission, nous ne devons blesser personne hors tu ne te maitrises pas encore suffisamment... Ne fais pas de bêtises et reste en retrait..."

Le ton de Ganymède avait la fermeté dû à son rang.

*Athéna, nous voila... Guidez nos pas vers la réussite...*

Post de Shakkya

Le regard de Shakkya croisa le magnifique regard bleu de Shaira. Le chevalier du Bélier en resta sans voix un instant, à peine 2 secondes. Puis il se ressaisit:

"Je suis intrigué Shaira je ne te le cache pas... Le Grand Pope à envoyé tous ses chevaliers ici. Je suis d'accord qu'il s'agit de la déesse Athéna, mais quand même... Je ne ressens pas un seul cosmos ici. Nous sommes quasiment des demis-dieux et il nous envoie tous ici pour prendre un bébé à des humains... Autant envoyer Hercule prendre la balle d'un nourisson... C'est ridicule et de la part du Grand-Pope, et étant donné que le sanctuaire est sans protection, dangereux..."

Il marqua un temps d'arrêt, semlant se perdre à nouveau dans le magnifique bleu des yeux de son amie, puis rougit un peu et reprit:

"...Et il y a ce plan que nous organisons... Je me sens presque insulté de devoir mettre un plan sur pied alors que nous sommes 7 chevaliers... Cette simpl mission ne devrait poser aucune difficulté même si un seul d'entre nous était venu. En plus le Grand Pope nous demande de venir sans nos armures, et il envoie un apprenti effectuer une mission secrète qui -apparemment- prime sur celle de récupérer notre déesse... Je sais que je me répète sans doute, mais je trouve cela très étrange, inquiétant même... Nous devrions nous depêcher de récupérer l'enfant et de rentrer en Grèce. J'ai un mauvais pressentiment...
Je déteste être envoyé sans comprendre et sans raison apparente. Et c'est le cas ici."

Les deux jeunes gens pénétrèrent dans la bâtisse en même temps.

"Nous en rediscuterons plus tard si tu veux bien. Nous avons une mission à accomplir maintenant et même s'il n'y a pas de danger apparent, je me concentrerai sur la tâche qui m'a été confiée..."

Post d'Aleraloth

Il regarda Catherine d'un regard un peu plus intense...

"Pour le moment, deux chevaliers d'or sont en train de gagner la maternité, nous devons les rejoindre au plus vite....ce qui est du reste pour le moment ce n'est pas d'actualité, reste sur tes gardes et suis nous"

Aleraloth était pressé de retrouver les chevaliers d'or et il designa au groupe un plaque puis l'ascenseur...

"Le service maternité est au Troisieme étage allons-y...."

Dans l'ascenseur tous se passait tranquillement, la hate était palpable dans le groupe...

*J'espere qu'ils n'ont pas fait trop de casse...Shaira est si impulsive....*

L'ascenseur ouvrit ses portes et au bout du couloir l'on pouvait voir un homme encastré dans le mur....
Aleraloth et ses compagnons se dirigerent vers les chevaliers d'or...
Ils virent alors Shaira et Shakkya ainsi qu'un tas d'hommes a terre...

"Shaira tu es vraiment brutale....le type dans le mur c'était obligé..."

Il laissa paraitre un sourire malgré tous, mais cela l'inquiété quand...

"Très bien, il faut sauver Athena de cette endroit, après tous ce raffut les gardes de tous l'hopital on du etre alerté.....la deesse est encore une enfant, nous devons la mettre hors de danger....."

Post de Shakkya :

" Mes pulsions d'animal sauvage sont vraiment destructrices..."

Avait dit Shaira à Shakkya en lui adressant un sourire adorable...

"Cette fougue et cette félinité font partie des choses que j'aime chez toi.."

Avait répondu le chevalier du Bélier en répondant avec un sourire...

Il marchait au milieu de tous ces corps les mains dans les poches... Il entra dans la salle d'examens et ne se souciant pas des gardes il s'approcha du berceau de l'enfant...

"Arrêtez!!! Nous allons ouvrir le feu!!!!"

Shakkya ne les regarda même pas... Quelques détonations suivirent, les balles étaient comme suspendues en l'air devant le visage du chevalier du Bélier... Celui-ci s'approchait du berceau où se trouvait la réincarnation de la Déesse Athéna... Il la prit dans ses bras...

"Vous êtes trop bruyants.. Cette enfant essaye de dormir et vous l'importunez..."

Le jeune homme leva une main et les balles en l'air se dirigèrent vers les gardes qui les avait tirés. Ceux-ci s'écroulèrent...

"Ne t'en fais pas,"

dit-il à Shaira,

", ils sont justes inconscients... je me suis juste servi des balles pour les assomer... Voila le bébé... Nous pouvons y aller..."

Il ferma les yeux un moment et se concentra pour envoyer un cosmos doux et chaleureux au nourisson, pour le calmer... Il continua sa marche vers la sortie de l'hôpital...